Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre rondelette au milieu de son atelier. Elle y jetait les extraits de cuivre en silence, laissant les appétences danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une inspiration lente, une marotte apparue d’un geste familial répété sans cesse. https://beaumxeim.snack-blog.com/34192060/la-matière-qui-satisfait